#. Mystères

Mystère

Introduction

Parfois on se dit que la vie est injuste que l’on n’a pas mérité ce qui nous arrive. Mais pourquoi se serait toujours la faute des autres. On c’est tous qu’on a déjà fait quelque chose de mal on n’ose juste pas ce l’avouer pour espérer comme ça se sera oublié. Mais il ne faut jamais oublier que tant que l’on essayera d’oublier le passé rien de bien pourra nous arriver. N’accusez pas les autres de ce qui vous arrive, regardez vous plutôt. Il serait peut être tant de se remettre en cause.

Chapitre 1

Tûuut, Tûuut…. Voilà la sonnerie de mon portable qui me réveille. Je fais un rêve étrange tous les soirs depuis plus de 2 semaines et à chaque fois que je me réveille je me souviens presque de rien hormis d’une créature immense et imaginaire que je n’arriverais pas à décrire. Toujours ensommeillé je prends mon portable et regarde qui est le coupable. « Oh non !! » C’est Monica ma meilleur amie. J’ai encore loupé le réveil. 7h35, et voilà une fois de plus. 25 minutes pour me préparer et aller au collège mission impossible. Immédiatement je saute du lit, m’habille, prend un croissant que je dévore en quelque minutes. Direction la salle de bain je me brosse les dents et m’attaque à mes cheveux non sans douleur. Je me regarde dans la glace et je voie mon reflet, je me présente, Sacha Sacrina 14 ans depuis peu, assez grande les cheveux roux et raides qui me tombent sur les épaules. J’ai les yeux bleus et profonds. Rapidement je prends mon sac et je cours en direction du collège. Arrivé là-bas je regarde ma montre 8h17 et voilà je suis en retard, mon professeur de maths ne va pas apprécier. Vite ! Il faut que je trouve une excuse. Ayant déjà donné celle du « j’ai raté le réveil » plusieurs fois et au moins 3 fois celle de « J’ai perdu mon sac j’ai du le chercher », il me faudrait un peu d’originalité. Tout en parcourant les couloirs jusqu’à la salle de mathématiques je réfléchissais. Plusieurs options s’ouvraient à moi :
1. Je séchais complètement le cours de maths comme ça pas d’excuse à donner.
2. J’essaie de rentrer par la grande fenêtre de notre salle de maths.
3. Je rentre en m’excusant et en lui disant qu’une fois de plus j’ai loupé le réveil.
Je choisie cette dernière option, les deux autres étant un peu trop dangereuse si je me faisais prendre. Ainsi je me dirigeais vers la salle de mathématiques, arrivé devant la grande porte de jaune, je frappai et une voix m’invita à entrer. Quand le prof me demanda ou j’était passé je lui dis la réponse que j’avais trouvé un peu plus tôt. Il m’a alors dit qu’il n’avait jamais vu quelqu’un arrivé en retard aussi souvent que moi. Mais je m’en fichais. Par contre la phrase qu’il mentionna après m’inquiéta un peu plus « La prochaine fois je vous colle mademoiselle Sacrina » Oh non ! J’avais toujours eus horreur des heures de colle, à chaque fois je me retrouvais avec des gens bizarres et en plus je m’ennuyais pendant deux heures entières. La sonnerie sonna enfin. Monica s’approcha de moi « Comment tu fais pour être toujours en retard en cours ? » elle me pose cette question a chaque fois que j’arrive en retard et j’ai a chaque fois la même réponse en réserve « Et toi, comment tu fais pour ne jamais l’être ? ». Tous en riant nous nous dirigions vers les salles de français, un véritable supplice. Bon les maths passent encore mais le français c’est l’une des matières que je ne supporte pas ! J’ai déjà du mal à écouter pendant ce cours mais maintenant qu’on a changé de professeur c’est fatal. J’arrive à peine à garder les yeux ouvert. Rien que la semaine dernière j’ai faillis m’endormir deux fois heureusement des amis me réveille quand il me sente partir. En voyant la petite salle lugubre qui m’attendait je dus retenir un bâillement. Ma prof de français et une femme assez petite avec des cheveux gris, noirs et des habits atroces. Elle s’appelle Madame Laphrase, nom plutôt bien choisis pour une prof de français. Après nous avoir répété de nous taire, elle nous distribua des polycopiés qui serait soi-disant noté. Après quelques effort pour me concentrer sur mes exercices je commençai à regarder par la fenêtre je me voyais en train de voler sur le dos d’un phénix vert émeraude. Voler au-dessus des montagnes et des océans. Puis soudainement je vis un corbeau apparaitre a mes cotés, « Sacha, Sacha » il ne cessait de répéter mon nom. Et d’un seul coup je ne vit plus rien le phénix, le corbeau et le magnifique paysage qui s’offrait à moi avait disparu. J’ouvris les yeux et je vis Madame Laphrase, debout devant moi l’aire furieuse.

Chapitre 2

Aie, Aie, Aie, Me voilà bien je m’étais endormis et apparemment Ma prof l’avait vu. Elle se tenait devant mon bouillonnante de colère, elle semblait prête à exploser a tous moments. Je craignais le pire : heures de colles ? visite chez le principal ? Convocation des parents ? Quel serait ma punition ? Après m’être pris un joli savon ma sanction est tombé : Hop ! Dans le bureau du principal qui allait convoquer mes parents pour leurs parler de mes retards, du faites que je dorme en cours et aussi de mes quatre heures de colles durant trois semaines. Pfft ! La total c’est du trois en un. Dans quelle galère je m’étais mise moi. Est-ce ma faute si le cours de français agit sur moi comme une berceuse. J’étais sur la route du bureau du principal quand j’ai eu l’envie folle de faire demi-tours. Mais je savais que les conséquences qui iraient avec ce coup de tête n’arrangeraient pas mon cas. Après m’être pris un deuxième savon je dus regagner mon cours d’anglais. Quand j’entrai dans la salle un silence de mort pesa sur la classe. Il fut l’heure d’aller déjeuner, je m’obligeai à manger un peu car après j’avais cours d’éducation physique et que ci je ne mangeais pas je serais bonne pour faire une crise d’hypoglycémie. J’avais retrouvé mes amies Monica, Justine, Clélia et Julie. Elles me demandèrent bien sur toutes ce que le directeur m’avait dits. Le temps que je leurs expliquent il était presque l’heure. Nous somme donc parties en direction du gymnase. Arrivé là-bas le prof était déjà arrivé. J’aimais plutôt bien ce cours, ca me permettait de me défouler. Après de transpiration direction la douche. Enfin une douche très brève, le maximum de temps que j’ai eu pour me doucher c’est quatre minutes, en général on a environ deux à trois minutes mais souvent pas plus. C’est très peu mais bon c’est ça ou rien. Ensuite je finis par deux heures d’histoire, faut pas se plaindre que je dors en cours après ça ! La première passa rapidement j’ai eu la seule bonne nouvelle de la journée j’ai eu un quinze en histoire ce qui est un exploit pour moi. La deuxième heure passa plus lentement ! Pourquoi ca devrait m’intéressé l’histoire de l’Arabie ? Driiiinngg voilà enfin la sonnerie les cours sont finis. Je dis au revoir aux filles et je pris la route qui conduisait chez moi. J’habitais une petite maison, mais assez spacieuse que j’aimais beaucoup. Je rentrai, et me dirigea vers la cuisine mais rapidement je compris que je n’avais pas faim. Le principal devait appeler mes parents ce soir et je ne souhaitais pas être là quand cela arriverait. Donc je pris la direction dans ma petite chambre. Elle avait les murs blancs, avec un parquet blanc un peu vieillit. Mon bureau toujours en désordre à cause de mes cahiers de cours était en face de mon armoire. Mais l’endroit que je préférais dans ma chambre c’était mon lit je m’y réfugiais tous le temps. Pour lire, me reposer, me détendre, je m’y sentais bien. C’est pour ça que lorsque j’entrai dans ma chambre je posai mon sac près de mon bureau et que je m’allongeai sur mon lit. Je commençai à fixer le plafond et je restai dans cette position un long moment. Puis la fatigue me rattrapa, mes paupières commencèrent à être lourdes. Peut de temps après je sombrais dans le monde des rêves. J’étais dans ma chambre assise à mon bureau, quand soudainement une lumière attira mon regard. Je me retournai et j’eu un choc, juste à coté de mon armoire se trouvait une lumière verte. Aussi grande qu’un homme et luisante, elle bougeait. J’eu d’abord un mouvement de recule mais cette tache m’intriguait trop pour que je m’en aille. Je pris le premier objet que me venais et presque malgré moi je balançai dans cette tache verte. Il disparut, j’attendis un moment mais rien ne bougeait, et il ne revenait pas. C’est à ce moment là que je sautai à travers cette tache verte. Et précisément maintenant je me réveillai. « Ouf » c’était un rêve mais quand je me retournai et je vis de nouveau cette tache verte. En moi je sentais ce que je devais faire c’est pour cela que je courus en direction de la lumière et que je sautai dans cette chose qui m’étais inconnue.